TEST – Razer Kraken Kitty V2 – Edition Ectoplasma, un design qu’on ne peut qu’adorer

Après son arrivée en Europe avec un premier line-up sur les starters de première génération, Razer et The Pokémon Company International poursuivent leur partenariat avec le lancement très attendu du Razer Kraken Kitty V2 Edition Ectoplasma. Après sa commercialisation en Asie, ce casque arrive désormais dans nos contrées et promet un bel avenir pour cette collaboration. Pensé pour séduire les joueurs comme les fans de la franchise, il combine un design inspiré de l’univers Pokémon et des caractéristiques techniques qui en font un casque de jeu qui a fondamentalement marqué le secteur.

Une nouvelle collaboration entre Razer et Pokémon autour de l’Edition Ectoplasma

Ce modèle est dans la continuité des précédentes collections spéciales de Razer, déjà marquées par des éditions Hello Kitty, Kuromi ou encore la série Pokémon mettant en avant Pikachu, Bulbizarre, Salamèche et Carapuce. Avec le Kraken Edition Ectoplasma, le constructeur franchit une nouvelle étape en choisissant l’un des Pokémon les plus emblématiques, apprécié pour son identité graphique forte.

Le casque arbore une superbe coque violette profonde, ses piques très visibles rappelant forcément la silhouette du Pokémon et des oreillettes lumineuses RGB Chroma intégrant les contours d’Ectoplasma au lieu du logo Razer.

Avec ce choix artistique, Razer proposer un produit aussi bien adapté adapté au streaming mais éventuellement à un usage quotidien, pour impressionner vos collègues de bureau peut-être ! Chaque détail, du logo spectral aux finitions internes des oreillettes, vise à offrir une immersion visuelle fidèle à l’esprit de la franchise.

Un casque léger et pensé pour de longues sessions

Avec son poids d’environ 325 grammes, le Razer Kraken Kitty V2 Edition Ectoplasma se montre particulièrement léger, un réel atout lors des longues sessions de jeu ou de travail. L’arceau recouvert de mousse à mémoire de forme et les coussinets mêlant tissu respirant et similicuir assurent un port agréable, même après plusieurs heures. Les joueurs peuvent ainsi rester concentrés sans ressentir de pression excessive.

Le casque a également été pensé pour s’adapter à différents profils. Les réglages permettent de convenir aussi bien aux petites têtes qu’aux morphologies plus larges, garantissant une tenue stable. Certains utilisateurs ont même pu tester le casque en marchant sur un tapis de bureau, confirmant sa bonne adhérence et son confort prolongé.

La longueur du câble USB fixe, estimée à près de 2 mètres, offre une liberté de mouvement correcte pour une utilisation sur PC. Cependant, pour les consoles comme la Nintendo Switch ou la PlayStation 5, l’ajout d’une rallonge peut s’avérer nécessaire afin de conserver une position confortable. Malgré cette contrainte, l’ensemble reste robuste grâce à un gainage en silicone solide, pensé pour durer.

Qualité sonore et micro : ce que propose l’Edition Ectoplasma

Ce Razer Kraken Kitty V2 Edition Ectoplasma mise sur les haut-parleurs TriForce de 40 mm, capables de délivrer des aigus précis, des médiums équilibrés et des basses profondes. En jeu, la restitution sonore se montre plutôt immersive, que ce soit sur des titres compétitifs comme Apex Legends et Valorant ou sur des productions plus atmosphériques telles que Journey. La spatialisation permet de localiser efficacement les sons, un avantage notable lors de parties multijoueurs.

Sur PC, le casque bénéficie du support du 7.1 Surround Sound, offrant une immersion renforcée et un rendu audio plus détaillé grâce au logiciel Synapse. En revanche, les performances se montrent plus limitées sur consoles, où l’absence d’égaliseur dédié réduit la qualité d’écoute. Malgré cela, l’expérience reste satisfaisante pour un usage occasionnel sur Nintendo Switch ou PlayStation 5.

Le micro HyperClear Cardioid, intégré et non détachable, assure une captation vocale correcte pour les conversations sur Discord ou Zoom. Toutefois, la restitution reste en retrait pour les activités professionnelles comme le podcasting ou le streaming avancé. Si la voix est intelligible et le bruit ambiant partiellement filtré, la qualité demeure inférieure à celle d’un micro externe dédié. Pour les créateurs de contenu, l’usage d’un équipement complémentaire restera donc préférable.

Synapse, Chroma et personnalisation lumineuse au rendez-vous

Le casque profite de l’écosystème logiciel de Razer. Via Synapse, l’utilisateur peut ajuster le volume, activer le son surround 7.1 avec le logiciel secondaire à télécharger ou encore gérer le sidetone du micro. Les options restent limitées par rapport au modèle V3 Pro, mais l’essentiel est présent pour personnaliser l’expérience audio.

Le Streamer Companion App ajoute une couche visuelle supplémentaire, en synchronisant l’éclairage RGB Chroma avec les actions effectuées à l’écran ou les réactions du chat. Les oreillettes s’illuminent ainsi avec des silhouettes spectrales d’Ectoplasma, renforçant le côté immersif lors des diffusions en direct. Même en dehors du streaming, les variations lumineuses contribuent à personnaliser l’espace de jeu.

Cette intégration logicielle, bien qu’allégée, reste un argument fort pour ceux qui souhaitent allier performance et mise en scène. Razer a su conserver l’essentiel : une compatibilité solide avec ses outils maison et une dimension esthétique qui plaira autant aux fans de Pokémon qu’aux streamers en quête d’originalité.

Points positifs :

• Une esthétique vraiment unique et bien travaillée
• Un son surround bien simulé avec Razer Synapse
• Un très bon confort global

Points négatifs :

• Les oreillettes ne pivotent pas
• Le prix premium pour un casque filaire