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Battlefield Redsec: Comment bien débuter sur le Battle-royale ?

Annoncé comme un tournant pour la licence, Battlefield Redsec sépare ses lignes du jeu principal pour proposer une expérience battle royale gratuite, 100 % standalone. Accessible sans posséder Battlefield 6, ce mode est disponible depuis le 28 octobre 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series, en même temps que la mise à jour 1.1.1.0 et le lancement de la saison 1.

Pensé pour mêler l’ADN tactique de la licence Battlefield avec les codes modernes du BR, Redsec propose des affrontements par escouades dans un environnement destructible, où le choix de la classe, la gestion du loot et la coopération font toute la différence. Voici tout ce que vous devez savoir pour survivre à Fort Lindon et prendre l’avantage, même lors de votre toute première partie.

Premiers pas à Fort Lindon : gameplay, escouades et loot essentiels

Chaque session de Battlefield Redsec débute par un déploiement aérien sur Fort Lindon, une carte inédite conçue spécialement pour le mode. Cette vaste base militaire côtière alterne entre zones résidentielles, installations secrètes et décors tropicaux, offrant une variété de terrains propices aux affrontements tactiques.

Le principe reste classique : atterrir, fouiller, s’équiper et survivre. Jusqu’à 100 joueurs s’affrontent dans des parties où l’espace jouable se rétrécit progressivement via un anneau de feu extrêmement punitif. La moindres erreur de placement peut être fatale.

Le jeu se joue exclusivement en escouades, avec deux formats disponibles : duos ou quads. La communication entre coéquipiers est essentielle, renforcée par un système vocal intégré et la possibilité d’utiliser des balises de redéploiement en cours de partie. Chaque joueur peut choisir une classe (assaut, soutien, ingénieur ou éclaireur) à spécialité unique, influençant directement son gameplay et les objets auxquels il accède.

Dès l’atterrissage, il faut fouiller les lieux pour récupérer des armes, gadgets, munitions et plaques d’armure. Trois types de coffres sont à repérer : les communs (verts), les rares (rouge/noir) et les coffres de classe qui contiennent un matériel spécifique selon votre rôle. Certains véhicules garés sur la carte offrent aussi un butin thématique : par exemple, un défibrillateur dans une ambulance ou des armes lourdes dans un camion militaire. Autre subtilité : chaque joueur débute avec une arme de poing personnalisable, grâce à un système de loadouts incluant différents modèles (Glock, Sig M18, revolver…).

Choisir sa classe et maîtriser les rôles

Avant même de poser le pied sur la carte, l’un des choix les plus déterminants concerne votre spécialisation. Dans Redsec, chaque joueur intègre une escouade en choisissant parmi quatre classes : assaut, soutien, ingénieur ou reconnaissance. Ce choix conditionne non seulement vos équipements de départ, mais aussi votre accès à certains objets ou interactions sur le terrain.

  • Le soldat assaut mise sur la polyvalence et la puissance de feu à moyenne portée.
  • Le soutien apporte munitions, soins et gadgets de réapprovisionnement au groupe.
  • L’ingénieur est clé pour la gestion des véhicules et le déverrouillage de coffres spéciaux.
  • L’éclaireur dispose d’outils de repérage (drone, détecteur) et d’avantages à longue portée.

Chaque classe débute la partie un ou deux gadgets selon le rôle choisi et peut évoluer grâce à un système d’XP récompensant les actions en jeu. Le gain de niveaux débloque des compétences passives, des objets supplémentaires et une amélioration de l’efficacité en combat. Contrairement à certains jeux du genre, il est possible de doubler les rôles au sein d’une même escouade, mais une composition variée reste un atout tactique majeur.

Ce système de classes, directement hérité du multijoueur de Battlefield 6, permet d’intégrer un véritable gameplay d’équipe dans le BR, avec une répartition claire des responsabilités. Et pour ceux qui connaissent bien leur rôle, il est possible de faire la différence même avec un équipement minimal.

S’équiper efficacement : armes, loot et progression

Dans Redsec, l’efficacité sur le terrain repose autant sur les compétences que sur le matériel. L’économie du loot est centrale, avec des armes et objets classés par rareté et utilité. Comprendre leur répartition permet de gagner précieusement en survivabilité.

Le loot s’organise autour de plusieurs sources : les coffres (communs, rares, de classe), le loot des ennemis, les largages aériens, les véhicules spécifiques, et les points d’intérêt stratégiques disséminés sur la carte. Les coffres de classe offrent des bonus très recherchés, comme l’amélioration directe de votre arme signature, accompagnée de gadgets de haut niveau. Les coffres verrouillés, eux, exigent l’intervention d’un ingénieur pour être ouverts, ce qui renforce l’intérêt d’une équipe bien composée.

Côté arsenal, chaque arme est liée à un système de tiers (du commun à l’épique) et peut être améliorée via des kits de mise à niveau. Les plus aguerris pourront aussi construire leur loadout autour de statistiques clés : précision, recul, cadence, visibilité sur la mini-carte. Le choix des accessoires (canon lourd, silencieux, chargeur rapide) permet de s’adapter aux distances et aux styles de jeu.

Pour les premières parties, plusieurs armes sortent du lot :

  • Soore 556, fusil d’assaut stable et précis.
  • SGX et SL9, SMG à faible recul, parfaits en soutien rapproché.
  • M39 ou SVD, pour ceux qui aiment garder leurs distances.
  • KTS, un LMG redoutable en feu soutenu, idéal pour briser les lignes ennemies.

L’ajout de gadgets contextuels (drone, sac de munitions, tourelles, RPG) complète un arsenal adaptatif, pensé pour favoriser la stratégie collective plus que le délire solo.

Gérer l’armure, les réapparitions et la zone de danger

Dans Redsec, la gestion de la survie ne se limite pas à l’affrontement. Elle repose aussi sur une maîtrise fine des systèmes de protection, de retour au combat et de mobilité dans la zone.

Chaque joueur débute la partie avec une plaque d’armure équipée, mais peut en porter jusqu’à deux. Lorsque l’armure est brisée, les dégâts affectent directement la santé. Il devient donc vital de collecter et remplacer régulièrement ses plaques, disponibles dans les coffres ou sur les corps des adversaires. La capacité à rester protégé détermine souvent l’issue des combats en milieu et fin de partie.

Deux mécaniques permettent de revenir en jeu après une élimination :

  • La seconde chance, utilisable une fois par joueur, vous redéploie automatiquement après un court délai.
  • La tour de redéploiement, activable par un allié sur la carte. Tous les membres de l’équipe peuvent y revenir, mais le point ne sert qu’une seule fois.

Enfin, comme dans tout Battle Royale, la zone de jeu se réduit progressivement. Mais ici, elle prend la forme d’un anneau de feu impitoyable. Quelques secondes dans cette zone suffisent à vous faire tomber. Il est donc essentiel d’être toujours en mouvement, d’anticiper les cercles suivants et de ne jamais se retrouver acculé sans couverture.

À noter : le système de suppression ralentit la régénération des joueurs touchés de près par des tirs ennemis, même sans impact direct. Cela peut donner un avantage tactique pour bloquer un adversaire derrière un abri ou retarder sa récupération pendant que l’équipe avance.

Exploiter les véhicules et la destruction à son avantage

Le jeu intègre pleinement les véhicules dans son gameplay, sans pour autant les rendre dominants. Plusieurs types sont disponibles : buggies, 4×4, golfettes, chars d’assaut, hélicoptères de transport avec miniguns, chacun offrant des avantages de mobilité ou de puissance de feu.

L’accès aux tanks n’est pas direct : il faut remplir des objectifs sur la carte pour obtenir une carte d’accès, déclencher une activation et ainsi déverrouiller le véhicule. Une fois actif, le tank est signalé à tous les joueurs, et des caisses anti-véhicules sont déployées pour maintenir l’équilibre. Le blindé devient alors une cible mouvante, à la fois redoutable et vulnérable.

Les véhicules disposent d’un nombre limité de munitions, et doivent être ravitaillés près de stations dédiées, ce qui ajoute un risque supplémentaire. Leurs points faibles varient selon leur orientation : tirer à l’arrière inflige souvent plus de dégâts qu’en frontal.

Mais la véritable signature Battlefield reste la destruction environnementale. Certaines structures peuvent être entrièrement démolies, modifiant la géographie du champ de bataille. Un immeuble servant de point d’observation peut devenir un piège mortel si ses fondations sont visées par un RPG ou du C4. Ce degré de démolition offre une dimension tactique rare, où le terrain lui-même devient une arme.

Découvrir le mode Survie : affrontement par élimination

En marge du Battle Royale principal, Battlefield Redsec propose un mode secondaire intitulé Survie, conçu pour les joueurs à la recherche d’une compétition structurée en escouade. Ce mode oppose 6 équipes de 4 joueurs dans une série de missions successives, avec une dynamique d’élimination à chaque manche.

Le format repose sur quatre manches :

  • 1re manche : 8 escouades s’affrontent.
  • 2e manche : les 6 meilleures sont retenues.
  • 3e manche : il n’en reste que 4.
  • Finale : duel entre les 2 dernières.

Chaque mission est tirée d’une section précise de Fort Lindon, avec une zone de jeu qui rétrécit à chaque manche. Le type d’objectif varie selon les parties : décryptage de données, protection de cibles, escorte de colis explosifs, extraction sous pression, ou encore domination de points stratégiques. Chaque mission exige une coordination millimétrée entre les membres de l’équipe.

Contrairement au mode BR, les classes du mode Survie reprennent celles du multijoueur classique de Battlefield 6, avec leurs spécificités propres. Le rythme est plus tendu, les zones plus confinées, et la moindre erreur collective se paie cash. Ce mode s’adresse autant aux stratèges qu’aux escouades soudées cherchant à monter en compétence sur des formats plus courts mais tout aussi intenses.

Conseils stratégiques pour bien démarrer

Maîtriser Battlefield Redsec demande bien plus que de bons réflexes. Voici quelques recommandations concrètes pour gagner en efficacité dès vos premières heures de jeu :

  1. Ne pas atterrir au hasard : choisissez une zone déterminée en fonction de votre composition d’équipe. Les classes de soutien profiteront mieux d’un début en zone urbaine, tandis que les éclaireurs seront plus à l’aise en hauteur.
  2. Privilégier les coffres de classe : si vous connaissez bien votre rôle, accélérez votre puissance en localisant les coffres dédiés. Ils permettent une progression rapide et adaptée.
  3. Utiliser le système de ping intelligemment : ne vous contentez pas de signaler un ennemi. Indiquez les directions, les zones claires, les objets rares et les routes d’évasion potentielles.
  4. Gérer l’inventaire en continu : n’attendez pas un moment calme pour faire le tri. Un sac encombré de gadgets inutiles peut vous coûter une fuite ou un redéploiement.
  1. Anticiper les zones de feu : dès le deuxième cercle, commencez à planifier les prochains points d’intérêt. Traverser la carte en fin de partie est presque toujours fatal.
  2. Penser à la synergie d’équipe : combiner les compétences des classes permet de créer des combos puissants. Par exemple, poser une tourelle d’ingénieur près d’un point de réapparition peut créer un point de défense imprenable.
  3. Ne pas tout tirer : la destruction est puissante, mais bruyante. Un RPG mal placé peut attirer plusieurs escouades sur votre position. Priorisez les tirs ciblés aux démolitions spectaculaires.

En suivant ces conseils, les premières parties deviennent rapidement plus fluides. Et si les éliminations tardent à venir, rappelez-vous que dans Redsec, la victoire appartient souvent aux plus organisés.

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