Deux jours seulement après son lancement, dont une disponibilité sur Game Pass, Payday 3 a connu de sérieux problèmes de connectivité et de réseau. Ces soucis ont empêché certains joueurs de lancer ne serait-ce qu’un seul braquage dans le jeu. Une telle situation a poussé Tobias Sjögren, le CEO de Starbreeze, à s’exprimer publiquement et à présenter ses excuses sur les réseaux sociaux concernant l’état préoccupant de leur nouveau titre.

Cette crise peut être attribuée à la décision prise par Starbreeze en juillet dernier. L’entreprise a opté pour un modèle opérationnel toujours en ligne, décision qui n’a guère plu aux fans. Ce changement s’est avéré problématique : cette exigence de connexion permanente est précisément ce qui prive les joueurs de l’expérience tant attendue, après une décennie d’anticipation depuis le lancement de son prédécesseur.

Braquage raté (ou finalement réussi ?) pour PayDay 3

Tobias Sjögren, dans une déclaration publiée sur Twitter, a souligné qu’il est « impossible de se préparer à tous les scénarios », mais il reconnaît que Starbreeze aurait dû « faire mieux ». Bien que la société se soit engagée à travailler sans relâche pour rectifier le tir, les critiques dévastatrices pleuvent.

Sur la plateforme Steam, une avalanche de retours négatifs a propulsé Payday 3 à une note « plutôt négative », basée sur 23 365 critiques au moment de la rédaction. Pourtant, son prédécesseur, Payday 2, lancé il y a plus d’une décennie, avait su conquérir le cœur des joueurs sans rencontrer le moindre souci technique. Il jouissait encore d’une belle popularité à la sortie du troisième opus. À titre d’exemple, sur les dernières 24 heures, Steam a enregistré un pic de 45 374 utilisateurs pour Payday 2, contre 66 142 pour le nouvel opus.

Le titre est disponible sur PS4, PS5, Xbox et PC ainsi que dans le Game Pass.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici